Bande dessinée adultes, 
Aspirine, 
Joann Sfar, 
Rue de Sèvres, 16 euros

Présentation de cette bande dessinée : Aspirine, étudiante en philosophie à la Sorbonne a la rage, elle ne supporte plus de revivre sans cesse les mêmes épisodes de sa vie pourrie. Et ça fait 300 ans que ça dure car Aspirine est vampire, coincée dans son état d’adolescente de 17 ans. Elle partage un appartement avec sa soeur Josacine, heureuse et sublime jeune femme de 23 ans, qui elle au moins, a eu l’avantage de devenir vampire au bon âge. En perpétuelle crise d’adolescence, elle passe ses nerfs sur son prof, sa soeur et tous les hommes « relous  » qui croisent sa route. Assoiffée de sang, elle n’hésite pas à les dévorer (au sens propre) ou les dépecer. C’est même devenu un rituel avec les amants que sa jolie grande soeur collectionne. Malgré tout, elle attise la curiosité d’Ydgor ado attardé, un étudiant de type « no-life » : vaguement gothique, légèrement bigleux et mal peigné… avec comme kiff dans la vie, le fantastique et la légende de Cthulhu… Il rêve de vivre un truc magique, d’un destin exceptionnel et a compris qu’Aspirine est une vampire. Pour acquérir le privilège de pouvoir l’accompagner, il s’engage à garder le secret et à devenir son serviteur… son esclave. Parviendra-t-il à gagner sa confiance voire même son amitié ? Arrivera-t-il à la calmer de ses pulsions mortifères ? Au final, lequel sera le plus enragé des deux ?

Mon avis : Voici une bande dessinée dont l’histoire me tentait bien. De plus, elle me semblait parfaitement adaptée à cette période de pré-Halloween. Je vous invite de suite à en découvrir plus sur cette bande dessinée.

Les moins :

– Bon, je ne vais pas vous le cacher plus longtemps, j’ai pas du tout accroché à cette bande dessinée, et pour dire vraie, je n’ai pas du tout réussi à la lire. Je n’ai lu que quelques pages, mais je n’avais aucune envie de continuer, alors je ne me suis pas forcée. Mais la grande question c’est POURQUOI ?
– Maintenant, je peux le dire, je n’accroche pas du tout au travail de Joann Sfar. C’est vraiment une histoire de goût, mais je sais désormais que son travail ne me convient pas. Je pense donc que je ne renouvellerai pas mon expérience. Je n’arrive pas du tout avec son style de dessins, et même son écriture. Je sais pas… j’accroche pas !

Les plus :

– Je pense que l’histoire doit être sympathique, en tout cas, elle me plaisait bien. Je pense donc que les personnes qui apprécient le travail de Joann Sfar y trouveront leur compte.

Une bande dessinée à laquelle je n’ai pas du tout accrochée. 

 

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